Retrouvez les numéros de 0 à 200 classés par dodécade.

Rédacteur en chef : Stanislas Onassis
Maquettiste : Stanislas Onassis

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n°189

n°188

Rédacteur en chef : Stanislas Onassis
Maquettiste : Stanislas Onassis

L'entrée dans le 6ème siècle (l'an 500) coïncide avec une nouvelle maquette plus épurée : exit le logo, l'ourse est réduite à une ligne sans logo, et la Une est simplifiée pour ne présenter qu'une photo, un titre et le nom du magazine. Le nom du magazine s'écrit en verticale et se répète sur toutes les pages.

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n°179

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n°176

Rédacteur en chef : Stanislas Onassis
Maquettiste : Stanislas Onassis

Le 175ème numéro voit le remplacement de l'année exprimée en calendrier antique et cathodique par la seule année en calendrier cathodique.

n°175

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n°169

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n°166

n°165

n°164

Rédacteur en chef : Benoît Shegan jusqu'en 476 / Stanislas Onassis à partir de 477
Maquettiste : Stanislas Onassis

A partir du numéro 161, Stanislas Onassis qui réalisait la maquette, est promu et remplace Benoît Shegan en qualité de Rédacteur en chef.

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Rédacteur en chef : Benoît Shegan
Maquettiste : Benoît Shegan jusqu'en 464 / Stanislas Onassis à partir de 465

Le nouveau règne, celui de SO II, s'accompagne d'une nouvelle maquette et d'un nouveau maquettiste, Stanislas Onassis, qui remplace Benoît Shegan dans cette fonction. Désormais, le nom du magazine se réduit au simple terme "La Gayzette" au lieu de "La Gayzette des Lys", il s'écrit tout en majuscule et s'ancre à gauche sur la Une au lieu d'être centré. La Une s'allège et ne présentera, désormais, qu'une seule grande photo et un encart en haut à droite. La couleur dominante de chaque publication s'inspire d'une couleur majeure de la photo de Une. Les titres d'articles prennent de l'ampleur et le style se modernise. Finis les inserts en colonne à gauche ou en demi page de Une.

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Rédacteur en chef : Benoît Shegan
Maquettiste : Hugo Néris jusqu'en 446 / Benoît Shegan à partir de 447

Malgré un changement de maquettiste, la Gazette ne change pas durant cette dodécade. Benoît Shegan, plus penché sur l'écriture que sur le graphisme, n'apportera pas de modifications à la maquette durant la courte période de sa mission au design de la Gazette, il faudra attendre près de 20 ans et l'arrivée de Stanislas Onassis pour voir des changements significatifs. En parallèle, Adrien Gantinier cède sa place de Direction Générale à Benoît Shegan tandis que les interventions de divers journalistes sont réduites à quelques articles politiques et tenderont à disparaître avant de ne laisser la place qu'un seul journaliste dès 533.

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Rédacteur en chef : Benoît Shegan
Maquettiste : Hugo Néris et Hugo Néris et Benoît Shegan en 436

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Rédacteur en chef : Benoît Shegan
Maquettiste : Hugo Néris

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Rédacteur en chef : Benoît Shegan
Maquettiste : Hugo Néris

Cette période est propice aux changements et outre une équipe rédactionnelle, la Gazette se dote pour une saison d'un Directeur Général alias Adrien Gantinier. L'Ourse qui avait disparu quelques numéros, fait son retour.

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Rédacteur en chef : Phoebus Gantinier puis Benoît Shegan en 405
Maquettiste : Gus Nohier puis Hugo Néris en 402

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Rédacteur en chef : Phoebus Gantinier
Maquettiste : Gus Nohier

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Rédacteur en chef : Phoebus Gantinier
Maquettiste : Gus Nohier

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Rédacteur en chef : Phoebus Gantinier
Maquettiste : Gus Nohier

Suite au décès de Bruna Bourbon, la Gazette sous l'impulsion de l'Impératrice Régis-Emmanuelle change de main et passe aux "amis" de la Couronne étant possession de la Cassette Impériale. Ce sera donc Phoebus Gantinier qui prendra la direction du journal et Gus Nohier qui prendra celle des publications. Ce changement majeur s'accompagne d'une mise en couleur du journal et aussi d'un changement de nom deux fois sur la même législature : en 364 elle devient Gazette Impériale et en 370, privatisée, elle devient Gayzette des Lys.

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Rédacteur en chef : Phoebus Gantinier et SO Bourbon jusqu'en 354
Maquettiste : Bernard Tourou et Bruna Bourbon

La Gazette devient un "jouet" politique et la Chancelière Bruna Bourbon s'octroie la main mise sur le journal et y place son Ministre de la Culture Ronan-Erwan Bonaparte. Tandis que la famille Impériale tente aussi de s'y maintenir et place les siens également. A l'arrivée d'un nouveau Chancelier, alias Stephan-Alexandre Romanov les changements vont intervenir et notamment les privatisations durables.

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Rédacteur en chef : SO Bourbon et Phoebus Gantinier à partir de 344
Maquettiste : Bruna Bourbon et Bernard Tourou à partir de 344

La brève privatisation avant le scrutin de 444 sera suivie d'une renationalisation de la Gazette. Déjà la Gazette devient un enjeu politique majeur. A la faveur de nouveaux intervenants mis en place, issus de la bourgoisie neustrienne, la Gazette va évoluer et changer de maquette lors de la réelection de Bruna Bourbon en 344. En outre elle change de nom en 326 et devient "La Gazette de La Cour" suite à l'unification de Lutèce et de la Neustrie.

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Rédacteur en chef : SO Bourbon
Maquettiste : Bruna Bourbon

A la faveur de la 1ère élection législative en 332, la Gazette va de nouveau s'enrichir de photos. Le numéro 8 (chiffre maudit en Neustrie) disparaîtra et ne sera jamais édité.

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Rédacteur en chef : SO Bourbon
Maquettiste : SO Bourbon (n°0), Pedro Grimaldi (n°0) puis Bruna Bourbon

En 316, Sa Majesté l'Impératrice SO décide de délivrer une lettre d'information à Ses sujets. Tapant elle-même ce premier numéro dit "0" à la machine, très vite son Premier Ministre Pedro Grimaldi puis Bruna Bourbon, proposeront leurs services pour mettre en page cette gazette qui passera bien vite d'une page à plusieurs. Distribuée gratuitement les premiers temps, son succès la faire devenir payante assez rapidement dès le 10ème numéro. En 601, le texte tapé à la machine par SO 1ère a été retrouvé alors qu'on le croyait disparu.

n°7

n°6

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n°1

n°0 bis

n°0

n° Pilote