La Gazette

Créée sous le nom de "Gazette de Neustrie", son numéro 0 sort à l'occasion du pique-nique impérial en Taureau 316 (mai 1996) soit seulement 4 années cc après la fondation de l'Empire en 312. Rédigée telle une lettre sur une simple machine à écrire, son principe est d'informer les lecteurs sur l'année cc écoulée. Devant l'engouement rencontré auprès des neustriens, elle est, de suite, annualisée et le Chancelier de l'époque, Pedro Grimaldi, réédite le premier numéro tandis que Bruna Bourbon le rééditera à nouveau, et, dès 318, prendra la relève de Grimaldi pour la maquette. Reflet de l'évolution de la Cour, la Gazette "s'habille" selon les modes. En 337, à la faveur de l'avènement de l'ère démocratique et après la réunification de Lutèce et de la Neustrie, elle devient "la Gazette de la Cour". Elle est privatisée en 343, puis re-nationsalisée dès 344. Privatisée, de nouveau, en 351, elle devient "Gazette Impériale" en 363, sous l'autorité de l'Impératrice Régis-Emmanuelle qui en reprend le pouvoir. Adoptant un positionnement plus généraliste en 368 et absorbant une partie du contenu de la "Cour Trash", elle devient "la Gayzette des Lys", avant d'être re-nationalisée par Thomassine Bénévan, en 372. De nouveau, privatisée, en 380, par Alexy Borghèse, la Gayzette des Lys va se numériser et sera distribuée par voie informatique. En 465, elle change, une fois encore, de nom et s'appelle seulement La Gayzette, sous l'influence du nouveau règne de SO II. A partir de 476, elle est distribuée gratuitement à tous les Neustriens. Nationalisée en 533, elle reste dans le giron public et après une période difficile d'absence de publications en raison du régime absolutiste, elle fait son retour en 560 et change une fois encore de nom, en 572, sous la volonté du Chancelier Septime Onassis. Elle devient, dès lors, "Point Gazette" et reprend une partie des publications du Bulletin jusqu'en 594. Dès 570, la Gazette est de nouveau distribuée en version papier, lors des événements neustriens. En 600, elle est, une fois encore privatisée.

Le produit le plus ancien de Neustrie, a connu des influences politiques, comme indiqué, ci-avant, mais pas seulement. Des visions économiques, rédactionnelles et stylistiques ont aussi appuyé sur les destins des gazettes. Ainsi, les privatisations et nationalisations ont permis à la Gazette de gagner ou perdre en couleurs et en espaces réservés à tels ou tels événements. Les Editions Spéciales et les Hors Séries ont été, eux aussi, significatifs de ces courants. A noter qu'au niveau de la mise en page c'est Bruna Bourbon qui a marqué les premières éditions de la Gazette, et par la suite, Gus Nohier et Hugo Néris ont donné une dimension artistique à cette publication tandis que Stanislas Onassis et Septime Onassis auront opté pour un produit fonctionnel. Ces maquettistes ont fait les grandes heures de la Gazette tandis qu'à un niveau rédactionnel, après SO Bourbon qui rédige la Gazette comme une lettre adressée à ses sujets, c'est Phoebus Gantinier qui prendra la relève et deviendra une star très populaire de l'écriture. Son successeur, Benoît Shegan va, pour sa part, en raison de ses positions très engagées, se faire moult ennemis, tandis que la Gazette, sous son autorité, multiplie les intervenants. A sa suite, Stanislas Onassis, sera, de nouveau, très consensuel, adoptant une neutralité adamantine. Enfin, Septime Onassis, plus engagé, va, à son tour, avoir une plume acerbe tandis que la Gazette est de nouveau réservée à une seule écriture.

               
 
Dodécade 50 (588-599)
 
 

Rédacteur en chef : Septime Onassis
Maquettiste : Septime Onassis

Un petit changement intervient au passage à la nouvelle législature et le titre du magazine apparaît désormais en bas de Une et non plus en haut pour laisser la place aux visages qui font la Une. De même, le titre du magazine devient une image reflétée. En outre, les pages intérieures s'épurent encore un peu plus et les lignes fléchées verticales disparaissent pour être remplacées par des guillemets. La police de caractère, elle aussi, change.

 
               
 
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589
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273
272
 
               
 
Dodécade 49 (576-587)
 
 

Rédacteur en chef : Septime Onassis
Maquettiste : Septime Onassis

 
               
 
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Dodécade 48 (564-575)
 
 

Rédacteur en chef : Septime Onassis
Maquettiste : Septime Onassis

La Gazette est, de nouveau, distribuée gratuitement à tous les Neustriens, dès 572. Si les Editions des Lys ont cessé toute activité durant la période absolutiste, Septime Onassis, qui est, désormais, non seulement, Rédacteur en chef et maquettiste de la Gazette mais aussi Chancelier de Neustrie, décide de rétablir les numéros manquant de la période absolutiste, lesquels seront envoyés par voie informatique tandis que les nouveaux numéros sont distirbués lors des événements en format papier avec un envoi regroupant les éditions de la législature en fin de mandat. En outre, Septime Onassis opte également pour une nouvelle maquette minimaliste et sobre et choisit un nouveau nom. La Gazette devient "Point Gazette".

 
               
 
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Dodécade 47 (552-563)
 
 

Rédacteur en chef : Septime Onassis
Maquettiste : Septime Onassis

Si la Gazette n'est plus distribuée depuis 533, les numéros seront édités dès 560 et relateront tant bien que mal les événements écoulés durant les années obscures. En 560, le principe démocratique est rétabli et les gazettes seront parmi les premiers éléments significatifs d'un retour à la démocratie. Dès lors la Gazette va restituer les numéros manquants avant de rentrer dans le vif du sujet en 570.

 
               
 
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560
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237
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Dodécade 46 (540-551)
 
 

Rédacteur en chef : Septime Onassis
Maquettiste : Septime Onassis

Les numéros de cette dodécade seront réalisés postérieurement après la restauration démcratique en 560 et les gazettes peuvent rester floues sur certains événements de l'époque concernée.

 
               
 
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Dodécade 45 (528-539)
 
 

Rédacteur en chef : Septime Onassis
Maquettiste : Septime Onassis

Le coup d'état de l'Impératrice SO II, en 533, met un terme à la vie démocratique neustrienne et suspend toutes les activités qui y sont associées. De même, les Editions des Lys sont nationalisées et la Gazette voit sa publication arrêtée.

 
               
 
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Dodécade 44 (516-527)
 
 

Rédacteur en chef : Stanislas Onassis (jusqu'en 516) Septime Onassis (dès 517)
Maquettiste : Stanislas Onassis (jusqu'en 516) Septime Onassis (dès 517)

A l'occasion de son 200ème numéro, la Gazette change de Rédacteur en chef et de maquettiste et le père (Stanislas Onassis) passe le flambeau à son fils (Septime Onassis). Si Stanislas était assez consensuel, Septime aura un style d'écriture plus corrosif tandis qu'il optera pour une maquette plus sobre par la suite.

 
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